A l’occasion de la 10° édition du top 250 des éditeurs de logiciels français, présentée par Syntec Numérique, EY, et en collaboration avec Tech’In France, Zeendoc se classe à la 174° position du classement, soit un gain de 31 places en comparaison à l’année 2018. L’étude confirme le dynamisme et la croissance du marché lié aux solutions SaaS, dont le modèle économique ne cesse de séduire les entreprises au fil des ans. Focus sur le panorama et les résultats de ce secteur en pleine expansion et à l’avenir prometteur.
SaaS, un modèle économique d’avenir
Trois idées clés sont à retenir des résultats de cette étude.
Progression constante du chiffre d’affaires en 10 ans
Tout d’abord, le chiffre d’affaires SaaS des éditeurs est en constante progression depuis une décennie. 40% du chiffre d’affaires du panel est réalisé par l’activité SaaS, soit une progression de 7 points par rapport à 2017.
Rappelons que, lors de la première étude du TOP 250 de logiciels en 2010, le chiffre d’affaires SaaS représentait seulement 10% de l’activité de l’édition de logiciels française. Le modèle économique connaît donc, depuis 10 ans, un bond certain en terme de progression (+30%).
Vers une croissance plus forte encore
Cette transition vers le Saas n’est pas prêt de s’arrêter là ! En effet, les éditeurs de logiciels français sont 62% à considérer le SaaS comme principal axe de développement dans les années à venir, contre 49% en 2019 (+13 points).
L’abonnement, mode de contractualisation phare
Enfin, notons que 79% des éditeurs de logiciel français plébiscitent l’abonnement comme mode de contractualisation. L’accélération de la transition vers un modèle SaaS se repose donc sur le succès de ce modèle.
Sur quelle méthodologie se repose l’étude ?
L’enquête du Top 250 des Éditeurs de logiciels français se base sur un questionnaire réalisé auprès des éditeurs de logiciels français. L’étude a été menée entre juin et septembre 2020. Pour cette édition, le classement général est effectué sur la base du chiffre d’affaires correspondant à l’activité d’édition de logiciels de 326 éditeurs. Seules les sociétés françaises déclarant ne pas être filiales d’un groupe étranger sur l’exercice concerné sont incluses dans ce panorama.